Conversations en Couleurs
I celebrate myself, and sing myself, And what I assume you shall assume, For every atom belonging to me as good belongs to you. Walt Whitman, Song of Myself, 1892 Remerciements Nos premiers mots vont à...
I celebrate myself, and sing myself, And what I assume you shall assume, For every atom belonging to me as good belongs to you. Walt Whitman, Song of Myself, 1892 Remerciements Nos premiers mots vont à...
Du 28 janvier au 28 mai 2023, le musée Granet, en partenariat avec la Tate Modern, présente une rétrospective de David Hockney.
Ainsi a débuté, avec les étudiants de Master II en Histoire de l’art moderne et contemporain, et grâce à Émilie Kassentini, notre rencontre avec l’artiste britannique.
Plusieurs éléments auront eu raison du départ de David Hockney de sa terre natale en faveur des panoramas lumineux de la côte Ouest des États-Unis. Sans doute motivé par une quête d’hédonisme, et bien décidé à faire de la Californie sa terre d’élection, le peintre britannique finira par poser ses valises au cœur de Los Angeles à la fin de l’année 1963.
Les formes représentées par David Hockney sont celles qu’il observe dans sa vie : des piscines de Los Angeles à l’océan Pacifique, en passant par les routes sinueuses et longitudinales des terres de l’ouest. Il peint les territoires qu’il foule, lors de ses déplacements ou de ses voyages, par exemple au Mexique, produisant une œuvre diverse et itinérante. Inspiré des paysages, des personnes et des objets qui l’entourent, le plasticien crée une œuvre autobiographique.
L’Œuvre de David Hockney se traduit par un goût marqué par la figuration humaine. Cette importance donnée au corps et à sa présence s’incarne par la représentation de son entourage proche. La présence de chaises dans les œuvres présentes au sein de l’exposition est assez conséquente et nous permet de nous interroger sur cette récurrence.
A paraître le 7 avril 2022 aux éditions MF Après la publication du catalogue de l’exposition Rue d’Alger en mai 2021, c’est au tour de l’ouvrage tiré des webinaires de paraître aux éditions MF...
Ce numéro est consacré aux transferts culturels entre le Portugal et les espaces lusophones (Angola, Brésil, Macao, Mozambique notamment). Se détournant des approches endogènes ou essentialistes, il s’agit d’envisager ces espaces au-delà des stéréotypes que constituent la mythologie des grandes découvertes et le lusotropicalisme, la dichotomie entre beaux-arts et arts populaires ou encore l’opposition centre-périphérie.
Artl@s Bulletin 10, no. 2 (2021)
Qu’en est-il de la Méditerranée pour les historiens de l’art ?
Si les relations nord-sud ont été abordées relativement souvent, on a gardé prudemment à distance toute analyse faisant cas d’un prétendu « genius loci » méditerranéen, fondé sur les concepts de « nation », de « peuple » et de « race ». Aujourd’hui les outils pour une lecture dépassionnée des imbrications du fait artistique avec les logiques spatiales ne manquent pas et le dossier peut être rouvert.
Rue d’Alger, sous la direction d’Alessandro Gallicchio, éditions MF, Hors collection, mai 2021, 104 pages Présentation Rue d’Alger propose la réinterprétation d’éléments urbains marseillais renvoyant aux histoires coloniales, à partir du croisement des perspectives artistiques et de...